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Le sommet extraordinaire du 20 février s’est prolongé jusqu’en fin de journée le 21. Sans succès. Malgré les déclarations communes des derniers mois sur les ambitions collectives de l’Union, les Vingt-Sept ont étalé leurs divisions sur le financement de ces projets.
Les 27 chefs d’État et de gouvernement se retrouvent à Bruxelles le 20 février pour tenter de dégager un compromis sur le cadre financier pluriannuel 2021-2027. Le premier post-Brexit. Une négociation à environ 1 100 milliards d’euros, particulièrement complexe, avec une multitude de paramètres et d’intérêts qui se chevauchent. Chaque État ayant besoin d’obtenir quelque chose pour accepter l’accord. Tour d’horizon.
Lancée après le mouvement des Gilets jaunes pour réformer la haute fonction publique, la mission Thiriez accouche de propositions timorées. Dans l’ensemble, elles se contentent de revoir le cadre existant, sans bouleversement structurel. Le gouvernement a choisi de prendre son temps afin que que la réforme entre en vigueur pour le concours 2022.
Contexte publie le projet de conclusions du sommet extraordinaire prévu le 20 février. Il propose un cadre financier à hauteur de 1,074 % du revenu national brut de l’Union, soit 1 094,8 milliard d’euros. Charles Michel revalorise un peu les aides directes octroyées aux agriculteurs ainsi que le fonds de défense défendu par Emmanuel Macron. Au détriment des financements pour l’innovation.
La discussion parlementaire de la réforme des retraites est politiquement orageuse, mais s’annonce aussi périlleuse sur le plan constitutionnel. Dès le début, le Conseil d’État a averti le gouvernement d’un risque de censure par les Sages pour vice de procédure. Un risque qui n’a pour le moment pas été corrigé par l’exécutif et qui pourrait encore s’aggraver si le texte est adopté au pas de charge.
Président de la commission de l'Environnement, la plus importante du Parlement en nombre d’élus, le français LRM assume son rôle de courroie de transmission entre l’Élysée et les institutions européennes. Membre du groupe Renew, qu’il voit comme le « point d’équilibre » de la coalition, il décrit sa stratégie pour influencer en amont l’élaboration des textes par la Commission européenne. Interview.
Lors des négociations pour l’accord de retrait, la frontière irlandaise avait cristallisé les désaccords entre Londres et Bruxelles. Pour la relation future, la place de la Cour de justice de l’Union et la garantie d’une concurrence équitable s’annoncent comme deux sujets hautement sensibles et complexes.
À l’occasion des municipales, de nombreuses de listes d’union sont constituées sur le plan local, mais bien souvent avec un écologiste à leur tête. Une révolution culturelle pour le Parti socialiste, qui a longtemps assis sa stratégie sur sa position de leader incontournable de la gauche française.
Période de transition, niveau de concurrence équitable, accord mixte, mesures d’équivalences… Les négociations entre Européens et Britanniques entrent dans une nouvelle phase et un nouveau vocabulaire émerge par la même occasion. Contexte a refait de fond en comble son répertoire des mots-clés pour comprendre les prochaines étapes du Brexit.
Député LRM de la Loire, élu pour la première fois en 2017, il est issu des rangs du PS. Il est l’un des membres de l’Assemblée nationale que Contexte a choisi d’interviewer pour une série d’entretiens de mi-mandat.
Député du Morbihan depuis 2012, très attaché à la Bretagne, il a appartenu à la famille écologiste avant de rejoindre LRM en 2017. Dès 2018, Paul Molac a fait le choix de quitter la majorité pour rejoindre le groupe Libertés et Territoires. Il est l’un des membres de l’Assemblée nationale que Contexte a choisi d’interviewer pour une série d’entretiens de mi-mandat.
Le député LRM d’Eure-et-Loir a été élu pour la première fois en 2017. La même année, il entre au bureau exécutif de LRM. Il est l’un des membres de l’Assemblée nationale que Contexte a choisi d’interviewer pour une série d’entretiens de mi-mandat.
Le député LFI du Nord a été élu pour la première fois en 2017, à seulement 28 ans. Il est l’un des membres de l’Assemblée nationale que Contexte a choisi d’interviewer pour une série d’entretiens de mi-mandat.
Avec ses propositions présentées ce 28 janvier, le vice-président chargé du lobbying à l’Assemblée nationale veut améliorer la réglementation pour rendre visible l’empreinte normative. Il compte passer par la modification des codes de conduite des représentants d’intérêts et des députés à l’Assemblée nationale. Mais aussi par la réécriture de la loi Sapin 2 et de son décret, ce qui est nettement plus hasardeux.
Le vice-président de l’Assemblée nationale chargé des représentants d’intérêt remet ce 28 janvier son rapport « pour un lobbying plus responsable et transparent ». Ses 25 propositions visent à modifier le code de conduite des lobbyistes à l’Assemblée, le décret de la loi sur la transparence de la vie publique (loi Sapin 2) et son décret d’application.
La députée PS de Saône-et-Loire siège au Palais Bourbon depuis 2012. Elle a ainsi connu à la fois la vie dans la majorité et une autre dans l’opposition. Elle est l’une des membres de l’Assemblée nationale que Contexte a choisi d’interviewer pour une série d’entretiens de mi-mandat.
Le député UDI-Agir du Nord depuis 2016 a aussi été maire pendant seize ans. Il est l’un des membres de l’Assemblée nationale que Contexte a choisi d’interviewer pour une série d’entretiens de mi-mandat.
Contexte publie une version préparatoire de la liste des textes législatifs et autres initiatives prévus par la Commission von der Leyen pour sa première année.
La députée LRM de Loire-Atlantique a été élue pour la première fois en 2017. Issue de la société civile, l’ancienne sportive de haut niveau s’est retrouvé en première ligne dans le dossier de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Elle est l’une des membres de l’Assemblée nationale que Contexte a choisi d’interviewer pour une série d’entretiens de mi-mandat.
Le député LR du Haut-Rhin a été élu pour la première fois en 2017. Membre de la commission des Lois et de la commission des Affaires européennes, il s’est impliqué sur les questions de décentralisation. Il est l’un des membres de l’Assemblée nationale que Contexte a choisi d’interviewer pour une série d’entretiens de mi-mandat.