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Le mécanisme que présentera la Commission européenne le 14 janvier sera ouvert aux 27 États membres, selon deux documents que publie Contexte. Appuyé sur un « fonds de transition juste », un système de garantie spécifique pour les investissements privés, et un mécanisme de prêt public appuyé par la BEI, il vise à mobiliser 100 milliards d’euros.
Coca-Cola, partenaire de la présidence roumaine du Conseil de l’Union européenne. Début 2019, l’information a dérangé. Les conditions de ces partenariats récurrents entre entreprises et gouvernements – coûts, critères de sélection, modalités – sont bien peu transparentes. Un système flou qui crée aujourd’hui avant tout de la suspicion.
Les journalistes de Contexte ont laissé traîner leur appareil photo dans les endroits où tout se décide, à Paris, Bruxelles et Strasbourg. Saurez-vous retrouver où se trouvent les détails qu’ils ont capturés ?
La commission du Développement durable et de l’Aménagement du territoire de l’Assemblée nationale est présidée par une députée très « développement durable », au risque de frustrer les « territoriaux ».
L’exécutif s’apprête à pérenniser le droit des préfets de déroger aux normes, mais avec un encadrement strict. Un sujet aux enjeux plus politiques que techniques. Pas question, pour le moment, comme le souhaiteraient certains élus, d’y voir une ouverture pour un droit à la différenciation.
La victoire de Boris Johnson aux élections anticipées permet d’ouvrir au premier trimestre de 2020 les négociations sur la future relation entre l’UE et le Royaume-Uni. Avec un casse-tête de plus en perspective : la future contribution britannique au budget européen.
Contexte s'est procuré la dernière version de travail de la communication présentée aujourd'hui par la présidente Ursula von der Leyen, ainsi que l'annexe qui liste les actions à venir et le calendrier.
Truffé d’erreurs, l’instrument ne permet pas de donner une image fidèle des stratégies d’influence des lobbys à l’œuvre dans la bulle bruxelloise. Dernier exemple en date : Atos, l’ancienne entreprise du nouveau commissaire français, qui a revu a posteriori ses dépenses à la hausse pour 2018.
Le représentant d’intérêts existe officiellement depuis peu en France. Avec la définition, sont arrivées des contraintes de transparence qui ont fait plus de peur que de mal à la profession. Des initiatives en cours, comme le sourcing des amendements, inquiètent cependant les lobbyistes.
Contexte publie un document de la Commission résumant le contenu de la communication attendue le 11 décembre. Mis en forme, il est plus récent que le document informel qui a fuité le 29 novembre. Décryptage.
La nouvelle présidente de l’exécutif a dévoilé le 4 décembre les méthodes de travail de son collège et les premières modifications de l’organisation interne de l’institution. Passage en revue des points les plus importants.
Conseiller « fiscalité, prélèvements obligatoires et participations publiques », il est reconnu par ceux qui travaillent avec lui comme un élément central de la Macronie. Ses dossiers, qu’il a contribué à structurer dès la campagne présidentielle, sont les réformes clés du quinquennat.
La présidence finlandaise a fait circuler le 2 décembre au matin une nouvelle proposition de cadre de négociation. Par rapport au cadre financier envisagé par la Commission en mai 2018, 47 milliards d’euros ont disparu. Plusieurs politiques, dont le fonds de défense, subissent de fortes coupes, provoquant des mécontents dans les capitales. Tour d’horizon des principaux points à retenir.
Le collège des commissaires a été approuvé par une majorité allant des sociaux-démocrates à une partie des conservateurs à tendance eurosceptique. Mais la présidente de la Commission européenne sait qu’elle ne pourra faire approuver tous ses futurs textes sur une telle base. Elle continue donc ses appels du pied aux écologistes.
En commission puis en séance publique, l’Assemblée nationale a remodelé le texte « Engagement et proximité » pour revenir à l’esprit du texte du gouvernement. Tout en prenant garde à la nécessité de parvenir à un accord sur le texte avec les sénateurs, afin de parvenir à une adoption avant la fin de l’année.
Emmanuel Macron a besoin d’un bilan européen d’ici au premier semestre 2022. À cette période, le chef de l’État sera doublement sous le feu des projecteurs. Il sera en campagne pour sa réélection et la France présidera le Conseil des ministres de l’UE. Un calendrier qui explique son empressement à faire aboutir le Brexit et à voir la nouvelle Commission commencer son travail.
Depuis 1995, sa mission est d’enquêter sur la « mauvaise administration » au sein des institutions européennes. Alors que les députés européens voteront en décembre le renouvellement du poste, ils se retrouvent face à un choix. À quel point et comment ce bureau des plaintes peut intervenir dans les questions de transparence et d’éthique à Bruxelles ?
Avec l’émergence de la question climatique comme un enjeu central de la politique de l’Union, le Parti populaire européen se retrouve obligé de mettre les bouchées doubles pour déterminer une doctrine. Le Green New Deal promis par Ursula von der Leyen sera le grand test.
Les 150 citoyens tirés au sort se sont réunis pour la troisième fois du 15 au 17 novembre, avec l’ambition de faire progresser la politique environnementale française. À l'effervescence devront succéder un nombre limité de propositions fortes. Des premières pistes ont été présentées.
Quelques mois après les élections européennes, la troisième force politique du Parlement a encore du mal à trouver ses marques, entre dispersion et recherche d’une ligne cohérente.