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Le processus de désignation de la tête de liste est lancé. Mais le Parti populaire européen est tiraillé entre sa volonté de maintenir son hégémonie et les cassures idéologiques. Le Premier ministre hongrois est au centre de l’attention.
Ce diplomate de 46 ans est l’homme de confiance du Premier ministre hongrois dans la capitale européenne. Ses pairs lui reconnaissent un professionnalisme redoutable dans la défense de son pays, peu importent les décisions politiques prises. Portrait d’un diplomate au service de « l’illibéralisme ».
C’est la rentrée aussi pour les étudiants qui ont choisi une formation initiale en « lobbying ». Dans les instituts d’études politiques, les facs de droit, mais aussi les écoles de commerce, voire d'ingénieurs, les modules « représentation d’intérêts » ou « affaires publiques » font florès. À la clé, une formation qui se veut « professionnalisante » et des débouchés nombreux.
À Bruxelles, la fin de l’année 2018 marque le début de la fin d’un cycle : celui de la mandature du Parlement européen et de la Commission Juncker. En France, au contraire, c'est la première rentrée classique du Parlement, en fonction depuis un an. Mais les élections européennes – premier scrutin depuis l’arrivée à l’Élysée d’Emmanuel Macron – occupent déjà les agendas des partis.
Emily O’Reilly est affirmative : le président de la Commission et ses proches ont bien contourné les règles pour placer le directeur de cabinet du Luxembourgeois à la tête de l’administration européenne.
Venir de la société civile, auréolé d’une forte notoriété médiatique, est un atout pour un ministre. Mais pour peser sur les décisions, comprendre comment fonctionne la machinerie gouvernementale est indispensable. Tout comme savoir se faire des alliés en n’ayant pas peur d’aller au combat.
Le départ surprise du ministre de la Transition écologique souligne la faible ambition en matière d'environnement et d'énergie du président de la République, ainsi que l’incapacité de l’ex-ministre à faire de la politique.
En haut de la montagne de dossiers laissés en suspens, allongée face à l’océan de questions posées par cette rentrée politique qui s’annonce surchargée, la rédaction de Contexte est partie décompresser en laissant quelques-unes de ses recettes fétiches. Très bel été à tous. Rendez-vous le 21 août.
Depuis les révélations du Monde, le groupe majoritaire subit la pression et n’arrive pas à la gérer. Il a été contraint de céder à toutes les revendications de l’opposition. Sans le soutien du gouvernement, aux abonnés absents.
Plus de deux ans après le référendum, le Royaume-Uni sait enfin ce qu’il veut pour l’après-Brexit. Sur bien des aspects, ses demandes franchissent les lignes rouges fixées par les Vingt-Sept. Les semaines de négociations à venir s’annoncent âpres. Décryptage.
La réforme adoptée par le Bureau de l’Assemblée du 11 juillet est très en retrait par rapport aux propositions formulées par les deux secrétaires généraux. François de Rugy recule sur tous les points qui suscitaient la grogne des fonctionnaires parlementaires.
Contexte vous propose d’explorer les modifications apportées en séance par les députés au projet de loi constitutionnelle.
L’actuel secrétaire général du gouvernement associe le service de l’État à la préservation de la technostructure. Main de fer dans un gant de fer, son efficacité est cependant unanimement reconnue.
Le chef de l’État a proposé de revoir la procédure qui lui interdit d’être présent lors des débats parlementaires à Versailles et de répondre aux orateurs. Un coup politique à destination des insoumis. Non sans conséquences constitutionnelles, la proposition accentue la prééminence du président de la République.
Le coordinateur du groupe LRM dresse le bilan des débats en commission sur le projet de loi constitutionnelle et analyse ce que l’on peut attendre des discussions en séance publique, qui commencent mardi 10 juillet.
En France et à Bruxelles, le patronat change de visage. L’ancien président du Medef s’apprête à prendre la présidence de BusinessEurope, une organisation puissante qui bénéficie d’un accès privilégié aux décideurs européens.
La commission des Lois a examiné la copie du gouvernement pendant cinq jours. Mis à part un accident de vote sur l’élargissement de la censure des amendements avant leur dépôt, les députés ont suivi les rapporteurs et retouché le texte du gouvernement sans le bouleverser.
Contexte fait le point sur la première année de travail parlementaire, qui a vu émerger une poignée de nouveaux députés sur les questions énergie-climat, malgré l’absence de grande loi sectorielle.
Le Parlement et la Commission seront renouvelés à l’issue des élections européennes de mai 2019. Une échéance à laquelle les cabinets de lobbying bruxellois se préparent en anticipant les futures priorités de l’UE et la composition de l’hémicycle.
Le sommet européen des 28 et 29 juin devait marquer un pas dans la réforme de la monnaie unique. Le président français en avait fait un objectif prioritaire, mais il n’est pas suivi. Les frontières, la défense et la politique commerciale ont pris le dessus.