Contexte Santé est en ligne ! Profitez d’un essai de 15 jours
Déjà abonné ? Connectez-vous
Nommée en septembre 2016, cette économiste d’une quarantaine d’années est chargée de négocier la facture du Brexit et de s’assurer que les vingt-sept pays de l’UE restent unis. Portrait d’une fonctionnaire européenne iconoclaste.
Le changement de mode de désignation des députés européens a été taillé pour assurer le succès du parti du président, tout en ménageant les intérêts des deux principales formations d’opposition, LR et LFI.
Le vice-président Modem de l’Assemblée nationale, délégué aux représentants d’intérêts et aux groupes d’études, répond aux questions de Contexte sur la vision qu’il a de sa fonction et des lobbyistes.
La période durant laquelle les anciens membres de l’exécutif européen sont soumis à une autorisation pour exercer un autre métier est bien rallongée. Mais rien n’est fait pour renforcer l’indépendance de la décision finale.
La commissaire européenne à la Justice a répondu aux questions de Contexte sur les principaux sujets numériques dont elle s’occupe. Au programme : données personnelles, régulation des contenus, preuves électroniques, « New Deal » pour les consommateurs…
Le négociateur du Brexit est plus que choyé. Cabinet élargi, accès illimité aux administrations, rien ne doit lui manquer pour gérer un dossier hors norme.
Sans surprise, Gérard Larcher a répété que la limitation du cumul dans le temps était inenvisageable. Il a aussi émis des réserves sur la diminution du nombre de parlementaires. Par rétorsion, les prérogatives de l’exécutif sont bien égratignées par le projet du Sénat.
Sans révolutionner le fonctionnement du Palais-Bourbon, son président compte aller plus loin avec une série de réformes amorcées lors de la précédente législature, sur le statut des collaborateurs et l’ouverture des données parlementaires. Il compte aussi rendre plus transparente la présence des lobbyistes au sein de l’institution.
Divisé, le Parlement européen doit se prononcer définitivement en février. Du côté des États, l’idée est également loin de faire l’unanimité. Le président de la République y joue une de ses promesses de campagne.
En passe d’être définitivement arrêtée en février, la liste des présidents et des membres des groupes d’études de l’Assemblée nationale est l’occasion pour les représentants d’intérêts de voir à quoi les députés s’intéressent.
Contexte décrypte les stratégies des groupes pour gérer la seule journée de l’année où ils sont maîtres de l’ordre du jour. Le but est de permettre l’adoption de textes qui ne plaisent pas toujours à la majorité et au gouvernement.
La ministre des Transports a choisi pour suivre les relations avec le Parlement et les élus un jeune conseiller, Grégoire Koenig, qui a fait toute sa carrière en Île-de-France. Ce tropisme régional sera-t-il un atout ou un inconvénient pour ce poste ?
François de Rugy a présenté les propositions qu’il va soumettre à son homologue du Sénat. Il souhaite notamment revoir en profondeur le droit de pétition et constitutionnaliser le droit d’accès à internet et aux documents publics.
Les parlementaires de la majorité ont été associés très en amont à l’élaboration du projet de loi sur le droit à l’erreur, dont l’examen en commission et en séance sera bouclé en moins de deux mois. Ils inaugurent ainsi une nouvelle méthode de co-construction législative appelée à se reproduire.
Réunions des institutions, calendrier des projets de loi… L’agenda de Contexte Pouvoirs fait le tour des événements à noter pour les mois à venir. Il peut facilement être intégré directement au vôtre.
Pologne, Hongrie, Slovaquie et République tchèque plaident pour une augmentation des contributions nationales pour compenser le départ du Royaume-Uni de l’UE. Il s’agit pour eux d’éviter des coupes trop importantes dans les politiques existantes, dont ils sont les premiers bénéficiaires.
Alors que le Parlement européen a adopté sa position sur le règlement dit e-privacy, tous les regards sont maintenant tournés vers les États. Les acteurs du numérique adaptent leur stratégie d’influence pour la déployer sur 27 terrains. Dotées de plus gros moyens pour faire leur lobbying, les grandes entreprises européennes partent avec une longueur d’avance.
Une note du gouvernement obtenue par Contexte détaille la position française sur le budget de l’UE post-2020. Elle montre un changement de pied de Paris. Pour financer de nouvelles priorités comme la sécurité ou la défense, Paris assume de revoir à la baisse la politique agricole commune.
Nées dans le sillage des scandales sanitaires des années 1990, plusieurs d’entre elles sont aujourd’hui critiquées pour leur dépendance à l’égard du pouvoir industriel et leurs défaillances structurelles. Mais les agences elles-mêmes regrettent un manque criant de volonté politique de les réformer.
Investi sur la simplification administrative, Jean-Luc Warsmann souhaite s'attaquer à la surtransposition des directives européennes, en proposant la création d'un conseil d'évaluation des transpositions.