Déjà abonné ? Connectez-vous
La cinquantaine de directeurs généraux impliqués dans le « groupe de travail article 50 », doit adresser au Secrétariat général des affaires européennes un premier panorama de l’impact de la sortie du Royaume-Uni sur les politiques sectorielles.
Commission, Parlement, Conseil, chaque institution se prépare à la titanesque négociation avec le Royaume-Uni. Même si personne ne sait quelle forme prendront les discussions tant que les Britanniques n’auront pas fait le premier pas vers la sortie de l’UE, attendu d’ici la fin mars 2017.
Les ambitions du registre des lobbyistes ont été un peu revues à la baisse et critiquées au Sénat, mais les évolutions de ce système proposées par le texte initial n’ont pas été dénaturées. Les décideurs publics restent toujours à l’abri des sanctions.
La dotation globale de fonctionnement de l’État aux régions sera remplacée en 2018 par une fraction de la TVA, a annoncé le Premier ministre le 29 septembre. Une façon de parachever en fanfare la réforme territoriale.
Créé en 2011, légèrement modifié en 2014, le registre public va connaître de nouveaux changements. La Commission cherche à mieux encadrer la conduite des députés et du Conseil des ministres de l’UE, estimant qu’elle en fait elle-même déjà assez.
Corporate Observatory Europe est l’ONG bruxelloise qui s’est donné pour mission de scruter l’activité et l’influence des lobbys. Depuis quelques années, elle participe à la mobilisation des opinions publiques dans des dossiers comme Acta, le secret des affaires ou le Tafta. Contexte a rencontré l’un de ses fondateurs.
Le compte à rebours est lancé. Les Vingt-Sept ont six mois pour transformer de grands principes en réalisations concrètes. Tour d’horizon des enjeux.
Pour recoller les morceaux avec l’Europe de l’Est, l’Allemagne a accepté d’enterrer le système de relocalisation des réfugiés, abandonnant l’Italie et la Grèce seules face aux difficultés, et faisant fi de la légitimité du droit européen.
Chose promise chose due : la Commission européenne a présenté ses propositions de simplification des fonds structurels. Elle détaille des règles précises pour combiner ces fonds avec le plan d’investissement du président Juncker.
Dans son discours sur l’état de l’Union, le président de la Commission européenne, moins flamboyant qu’à ses débuts, a avant tout appelé les dirigeants nationaux à fixer un nouveau cap pour l’UE.
Crise existentielle de l’UE après le Brexit, couple franco-allemand, défiance des peuples, zone euro… Avant le sommet de Bratislava, censé envoyer un message politique aux citoyens et entamer une discussion sur la « relance » de l’Union, Contexte a rencontré l’ancien président du Conseil européen (2009-2014). Entretien.
Passif dans un premier temps, le président de la Commission européenne espérait que l’orage lié à l’arrivée de son prédécesseur chez Goldman Sachs passe. Bien mal lui en a pris, il se retrouve maintenant obligé de se désavouer en saisissant le comité d’éthique.
En juin 2016, les dirigeants européens ont décidé de se réunir à Bratislava pour « relancer » l’UE post Brexit, avec des mesures fortes et concrètes pour les citoyens. Plus l’événement approche, plus les capitales se montrent prudentes. Il s’agit en fait d’ouvrir une séquence qui ira jusqu’en mars 2017.
Activité des Parlements français et européen, grandes échéances locales, nationales et européennes… Contexte fait le tour des grands enjeux des six mois à venir et met en ligne un agenda que vous pouvez intégrer au vôtre.
Chercheur en science politique, spécialiste des élections, Joël Gombin analyse pour Contexte l’impact de la transformation numérique sur la vie politique et électorale française.
Lieu de décision et d’arbitrage, les RIM, comme on les appelle, constituent le cœur de la machine gouvernementale. Elles fonctionnement pourtant de manière artisanale et opaque.
La Commission veut réviser le règlement relatif au fonds européen pour les investissements stratégiques, afin de le prolonger jusqu’en 2020 et de porter la garantie de l’UE à 26 milliards d’euros. Contexte publie le projet de règlement.
Toutes présidées par la droite, elles voient le consensus, soigneusement entretenu jusqu’à présent, montrer des signes de fébrilité. Le président de l’AMF, François Baroin, marche sur un fil.
Le député de Saône-et-Loire a été nommé secrétaire d’État à l’Industrie jeudi 1er septembre. Une promotion pour celui qui fut le rapporteur de la loi relative au travail et dont la compétence a été saluée par toutes les parties.
Les députés et sénateurs LR, soutenus par plusieurs sénateurs de gauche, ont déposé une proposition de loi afin de retarder l’entrée en vigueur de l’interdiction de cumuler un mandat parlementaire avec un exécutif local.