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Rien ne va plus dans l’hémicycle. La gauche et la droite se déchirent autour de la succession de Martin Schulz, au risque de rendre l’institution ingouvernable jusqu’en 2019. Au sein des Libéraux et des Verts, l’atmosphère est également très tendue.
Onze régions métropolitaines doivent élaborer leur schéma de planification de politique régionale, dit Sraddet, avant août 2019. Prise en compte des territoires, fusion de certaines régions ou encore divergences politiques sont autant de défis qui les attendent sur le chemin de la décentralisation.
Manuel Valls et Vincent Peillon se placent dans la continuité de François Hollande alors qu’Arnaud Montebourg et Benoît Hamon veulent une rupture, quitte à se fâcher avec toute l’Union européenne.
Hormis quelques symboles médiatiques, les réformes institutionnelles proposées par les principaux candidats à la primaire de gauche n’ont rien de révolutionnaire et ne remettent pas en cause les équilibres de la Ve République.
Tractage au Sénat, manifestations, joutes sur Twitter, campagnes de mailing massives, études « scientifiques »… L’examen de la loi Grandguillaume a été l’occasion pour les nombreux acteurs, plateformes en tête, de déployer – voire d’étendre – toute la palette des outils d’influence. Un cas d’école.
La présidentielle et les législatives ne sont pas loin, il est temps de vérifier si vous êtes parés. Répondez à 12 questions garanties sans Hanouna ni Kardashian, mais avec du numérique, de l'énergie et des transports.
Une fois l’article 50 enclenché, les États tiennent à être informés de la moindre discussion ou avancée. Pour cela, les dirigeants ont acté toute une série de procédures internes. Le Parlement européen est tenu à distance.
Ces dernières semaines, face aux réticences de nombreux pays, Paris et Berlin ont joué de toute leur influence pour que le Conseil européen s’engage dans des actions concrètes. Les premiers résultats sont attendus dès mars 2017.
En censurant 36 articles sur les 169 de la loi Sapin 2, les Sages ont eu la main lourde, pointant de nombreuses malfaçons dans la qualité du travail législatif des parlementaires.
Le sommet de l’OGP (Open Government Partnership), qui s’est tenu à Paris du 7 au 9 décembre 2016, a permis de mesurer les progrès et les limites du mouvement de la gouvernance ouverte en France.
Officiellement, la Chine est désormais considérée comme une économie de marché. Officieusement, l’UE cherche désormais à mieux se défendre. Les partisans de mesures plus fermes pour contrer le dumping des produits subventionnés de pays tiers gagnent du terrain.
La gouvernance ouverte met en avant les outils numériques, alors qu’elle est loin de s’y cantonner. Survendus d’un côté, ils se heurtent encore à des écueils.
Après plusieurs années d’observation, activistes, élus et fonctionnaires des assemblées commencent à travailler ensemble, afin d’organiser une meilleure participation des citoyens à l’élaboration de la loi.
La volonté de François Hollande de ne pas se présenter pour un second mandat fait prendre à la primaire de la gauche un tournant. Manuel Valls est candidat, tout comme Vincent Peillon. Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon se sont présentés hors primaire. Contexte publie un tableau de bord des soutiens politiques et de l’entourage, très largement bénévole, des candidats déclarés. Mis à jour le 12 décembre.
Le président de la commission des Lois de l’Assemblée nationale, Dominique Raimbourg, s’est beaucoup investi pour faire progresser l’association des citoyens au travail législatif. Alors que se tient à Paris le sommet mondial du Partenariat pour un gouvernement ouvert, co-présidé par la France, il explique sa vision du sujet à Contexte.
Le prochain président du Parlement européen ne viendra pas de l’autre côté du Rhin. Mais les rebondissements politiques autour de sa désignation mettent en lumière une machine allemande bien huilée et qui pèse de plus en plus.
Le retrait de François Hollande a ouvert la voie à la candidature de Manuel Valls. La situation est cependant encore loin d’être clarifiée, l’ancien Premier ministre peinant à s’imposer comme seul candidat de l’aile droite du PS.
Trois mois après sa prise de fonctions, le négociateur de la Commission européenne l’affirme. Pour Michel Barnier, les Britanniques auront 18 mois maximum pour conclure un accord sur leurs conditions de sortie.
Dans son dernier rapport, le déontologue de l’Assemblée, Ferdinand Mélin-Soucramanien s’efforce de dresser un tableau positif de son action, malgré un manque de moyens et une implication des députés à géométrie variable.
Personne en Europe ne pleure Matteo Renzi. Le jeune dirigeant italien avait le don d’exaspérer ses pairs par ses bouffées de populisme et son ego. L’urgence est maintenant de le remplacer par une personnalité respectée et en mesure de mener les réformes nécessaires à la relance de la troisième économie de la zone euro.