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De passage dans la capitale européenne, le candidat à la primaire de la droite a prononcé un discours sur l’avenir de l’UE très en phase avec les réflexions actuelles à Bruxelles, aussi bien sur l'espace Schengen que l’avenir de l’euro.
Malgré leur engagement à s’intéresser aux demandes britanniques, les Européens ont consacré l’essentiel du sommet des 18 et 19 février à débattre de l’avenir de l’espace Schengen. Marginalisé, le Royaume-Uni a tenté de donner le change.
L’ancien Premier ministre a été confirmé haut la main président du Conseil constitutionnel, avec 38 voix pour et une contre, sans avoir été mis en difficulté lors des auditions parlementaires.
De peur de donner du grain à moudre au camp eurosceptique ou à la virulente presse britannique, Bruxelles préfère reporter à l’après-référendum certaines propositions législatives.
La discussion sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'UE, combinée à la crise des réfugiés et à celle de Schengen, fait émerger des réflexions sur la place de chaque pays au sein du projet communautaire. La zone euro émerge comme le nouveau centre de gravité.
Coup de com’, récompenses, punitions et incertitudes… Contexte décrypte les mouvements au sein de l’équipe de Manuel Valls.
La présidente du Front national veut « renégocier » la place de la France dans l’UE si elle accède un jour au pouvoir. Reste à savoir si son programme laisse une place à la discussion.
Les sources de tension sur les crédits des ministères « devraient être encore présentes en 2016 » et les nouvelles dépenses annoncées en matière de sécurité « non compensées par des économies », estiment notamment les magistrats.
À l'occasion de la publication, jeudi 4 février, des prévisions économiques de la Commission européenne pour 2016 et 2017, Contexte a rencontré le vice-président en charge de l'euro.
À l'occasion de la présentation en Conseil des ministres des textes de la réforme de l'état d'urgence, Contexte publie une série d'articles pour élargir l'horizon et décrypter les enjeux des discussions à venir.
Pour la première fois, l'état d'urgence décrété en 2015 vise à combattre un ennemi, le djihadisme, qui n'a pas de frontières, explique François Saint-Bonnet, professeur à l'université Paris II, spécialiste du droit des périodes de crise et des libertés.
La réforme de l’état d’urgence est sur les rails. Une série de textes de lois sera examinée dans les prochaines semaines, afin de rénover et d’étendre le dispositif.
Les recours devant les tribunaux contre l'état d'urgence n'ont pas donné beaucoup de résultats concrets. Mais ils ont permis de bousculer politiquement le ministère de l'Intérieur et la juridiction administrative.
Des eurodéputés ont formulé explicitement leurs craintes de voir la France mettre en place une réforme constitutionnelle en contradiction avec le droit de l’UE. Le Conseil de l’Europe a proposé son aide à Paris.
L’examen de la proposition de loi sur le terrorisme a été l’occasion pour la majorité sénatoriale de prendre date et de poser ses exigences sur le contenu de la future loi pénale.
La Commission s’est lancée dans une course contre la montre : prouver, d’ici trois mois, que la Grèce ne remplit pas ses obligations à ses frontières pour permettre aux autres pays de maintenir leurs contrôles au sein de l'espace de libre circulation.
La proposition de compromis entre le Royaume-Uni et le reste de l’UE est sur la table. Derrière le discours satisfait de David Cameron se cachent des changements cosmétiques.
Parti au ministère de la Justice pour remplacer Christiane Taubira, l’ancien président de la commission des Lois conservera une influence au Palais-Bourbon. La nomination de son successeur devrait intervenir la semaine du 1er février.
L’examen du projet de loi constitutionnelle a débuté dans des conditions rocambolesques, à la suite de la nomination surprise du président de la commission et rapporteur du texte, Jean-Jacques Urvoas, comme ministre de la Justice.
Devant les députés de la commission des Lois de l’Assemblée nationale, le Premier ministre a explicité l’article 2 du projet de réforme constitutionnelle, qui doit être officiellement présenté en Conseil des ministres le 3 février.