Le difficile partage du gâteau de la PAC entre l’État et les régions

À l’approche des élections régionales et de la prochaine PAC, les régions et le ministère de l’Agriculture tentent de faire valoir leurs atouts pour gérer le second pilier. Le tout sur fond de dette Maec et bio à rembourser, et de crédits de relance aux contours encore flous.

Édition Agro
Marion Coisne (avec Valérie Noël)
02 octobre 2020 à 8h00
Partager le gâteau — Pixabay

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Les accords trouvés au niveau européen sur le volet Feader du fonds de relance et sur le cadre financier pluriannuel amènent de la visibilité pour 2021 et 2022 : l’État comme les régions connaissent enfin les enveloppes à dépenser. En comité État-régions le 13 novembre, les deux parties, en conflit ouvert il n’y a pas si longtemps, ont franchi un pas sur la méthode de partage de l’argent.

Comment les Régions défendent leur rôle dans la gestion de la PAC

Depuis 2014, les Régions françaises sont des acteurs de premier plan du second pilier de la PAC. Autorités de gestion, elles ont un contact direct avec la Commission européenne. La proposition de réforme pour la PAC post-2020 vient chambouler un dispositif perfectible mais dans lequel elles avaient une place stratégique.

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