Abus de position dominante : Google nie en bloc les accusations de la Commission  

L’entreprise américaine a répondu, le 3 novembre, aux deux « communications des griefs » visant Google Shopping et AdSense. Elle décrit un marché du e-commerce concurrentiel et innovant.

Éditions Médias , Numérique , Tech
Laura Kayali
03 novembre 2016 à 18h27

À lire également

Bruxelles condamne Google à 2,42 milliards euros d’amende pour abus de position dominante

La Commission affirme que Google est effectivement en position dominante et a utilisé cet avantage pour promouvoir ses propres services. Cette conclusion, qui crée un précédent, servira de cadre aux autres enquêtes concernant l’entreprise, a expliqué la commissaire à la Concurrence, Margrethe Vestager.

Contexte, l’info politique dont les professionnels ont besoin.

Essayez gratuitement

Essayez Contexte pour suivre les politiques publiques en France et en Europe

Recevez tous les matins dans votre boîte e-mail une sélection d’informations et d’analyses de notre rédaction

Accédez à des scoops et des ressources pour décrypter les enjeux et les rapports de force politiques

Suivez la fabrication des textes de loi en temps réel tout au long de la navette parlementaire