Les mémoires de sa promo portaient sur des thèmes imposés, dont l’ubérisation en 2015-2016, quand le sujet faisait beaucoup parler de lui. Le livre reprend les travaux d’Henri Verdier, qui lui-même s’est inspiré de travaux américains.
Comme tout haut fonctionnaire qui se respecte, Laura Létourneau a, aux dires de tout le monde, et pour reprendre l’expression consacrée, « l’intérêt général chevillé au corps ». Mais, contrairement à ses homologues, généralement discrets, Laura Létourneau porte une « vision ». Elle l’a…