C’était il y a presque quarante ans : en 1984, Thaima Samman, aux côtés de Julien Dray, Harlem Désir ou encore Laurence Rossignol, fonde SOS Racisme. Aujourd’hui, l’ancienne militante est à la tête d’une structure incontournable dans le petit monde des affaires publiques parisien : le cabinet Samman, établi en 2010. Atypique aussi, car c’est l’une des rares agences qui rassemble en son sein des profils de lobbyistes purs et des avocats pour traiter ses dossiers.
Pour l’intéressée, issue de…