À l’aube du scrutin, le stress et l’inquiétude – bien cachés – sont perceptibles dans les couloirs du Parlement. "Le 27 mai, je peux me retrouver au chômage", avoue un assistant, anxieux.
Maintenant que les derniers dossiers législatifs sont bouclés, les "APA" – comprendre les assistants parlementaires – surveillent les sondages et les listes des partis : leur député se représente-t-il ? Si oui, est-il éligible ? S’il ne l’est pas, faut-il tenter de rejoindre l’équipe d’un primo député et,…