C’est donc le Luxembourg qui reprend les rennes du Conseil de l’Union pour les six mois qui viennent. Au-delà de l’utilité des présidences tournantes - trop courtes - mais qui restent bien pratiques pour assurer le suivi des travaux législatifs de l’UE, le grand-duché va devoir prouver une fois de plus sa capacité à gérer un agenda européen compliqué. Compliqué pour ne pas dire gangrené par des crises au long cours. Crise de la dette grecque, crise migratoire, crise institutionnelle…
Faire sauter quelques verrous
Si seulement le Luxembourg parvenait à faire sauter quelques verrous durant sa présidence tournante du Conseil de l’UE

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