Le géant américain attend le dernier moment pour dévoiler son jeu. Il s’est jusqu’alors refusé à proposer des remèdes à l’exécutif européen qui a des craintes quant à ce rachat, pour 12,4 milliards d’euros, de la branche énergie du français Alstom. Il va mieux cerner les préoccupations européennes car il a reçu, le 12 juin, une communication des griefs qui les détaille, un classique dans une
enquête
approfondie dite de phase 2.
"Il est assez courant que nous faisions part…
General Electric reçoit les griefs de la Commission
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