Entre théorie et pratique, les groupes d’experts de la Commission peinent à évoluer

L’exécutif européen essaie de rendre ces structures plus transparentes, promulgue de nouvelles règles, mais dans les faits, les industriels sont toujours dominants. Exemple avec un dossier d’avenir et aux intérêts conséquents : les voitures connectées.

Éditions Pouvoirs , Numérique , Transports , Territoires
Cédric Vallet
07 juin 2017 à 17h00

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Ce devrait être l’un des grands chantiers numériques du gouvernement : négocier le spectre nécessaire pour la 5G et les futures voitures connectées au niveau international et arbitrer entre les intérêts industriels. Un arbitrage d’autant plus délicat que les responsabilités des différents ministres dans ce dossier ont toujours été mal identifiées.

Les groupes d’experts de la Commission européenne : l’équilibre impossible ?

Ces structures sont régulièrement pointées du doigt pour le déséquilibre de leur composition et leur opacité. En mai 2016, la Commission a révisé leurs règles de fonctionnement, prônant plus de transparence. Premiers bilans.

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