.
À lire également
Infographie
La galaxie du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale
Un an après le début du second quinquennat d’Emmanuel Macron, le groupe parlementaire n’a pas la même physionomie que sous la législature précédente. Son barycentre s’est déplacé à droite avec la présidence d’Aurore Bergé, qui s’appuie sur un petit nombre de fidèles.
À l’Assemblée, la méthode Castaner trouve ses limites
Depuis son arrivée à la tête du groupe LRM, Christophe Castaner a remis de l’ordre dans un groupe déboussolé. S’il évite la plupart des couacs en organisant l’expression de divergences, il doit composer avec l’activisme de son ancienne rivale, Aurore Bergé.
A l’Assemblée, un neuvième groupe de bric et de broc veut retrouver l’esprit de 2017
Coprésidé par deux anciens marcheurs, Matthieu Orphelin et Paula Forteza, et fort de 17 députés, Écologie-Démocratie-Solidarité insiste sur la justice sociale et l’environnement. Des propositions communes sont avancées dans leur manifeste, mais chaque élu conservera une liberté totale de vote.
Les députés LRM cherchent à se sortir du piège de la promesse de renouvellement
En lançant le processus de redistribution des postes à responsabilité, les élus En Marche entendent respecter un engagement symbolique fort, sans pour autant casser une mécanique et une dynamique internes encore fragiles. Un défi que le groupe majoritaire s’estime capable de relever.
Les tribus du groupe La République en marche à l'Assemblée nationale
En quelques mois, les députés de La République en marche ont appris à se connaître. Des tribus se sont formées, en fonction des amitiés antérieures, des responsabilités passées dans la campagne présidentielle et des proximités géographiques des circonscriptions. Les députés se sont aussi organisés en groupes de travail thématiques et informels. Contexte suivra les compositions et recompositions de ces tribus tout au long du quinquennat.