Les élections législatives turques du 7 juin montrent que l'AKP (Parti pour la justice et le développement, de tendance islamo-conservatrice) du président Recep Tayyip Erdogan aura du mal à former une coalition ou à s'assurer le soutien nécessaire pour mettre en place un gouvernement minoritaire, estime Cenk Sidar, expert en analyse politique. Selon lui, une coalition entre les sociaux-démocrates (CHP) et les nationalistes de droite (MHP), soutenue sur certains points par le parti kurde HDP pourrait ne pas être l'idéal…
« La ’nouvelle Turquie’ d’Erdogan est déjà vieille maintenant »
08 juin 2015 à 14h50
