Faire comme si rien ne s’est passé. Eviter tout lien entre l’Allemagne, la troïka et la Grèce. Ceci semble être la devise de la chancelière allemande Angela Merkel et de son ministre des Finances Wolfgang Schäuble après le tremblement de terre politique à Athènes.
"Personne n’impose quoi que ce soit à la Grèce", a déclaré M. Schäuble pendant l'Eurogroupe, le 26 janvier à Bruxelles. De son côté, Mme Merkel a félicité le vainqueur des élections Alexis Tsipras, en soulignant :…
L’Europe de Merkel mise à rude épreuve
29 janvier 2015 à 11h49
