Place aux pros (et à la droite) : le premier gouvernement très politique d’Emmanuel Macron

Neuf des quatorze ministres nommés ce 11 janvier ont déjà été membres des Républicains ou de l’UMP. Pressenti pour mener la bataille aux européennes, le chef du parti présidentiel, Stéphane Séjourné, devient ministre des Affaires étrangères et de l’Europe. À Bercy, Bruno Le Maire est renforcé, ajoutant l’Énergie à son portefeuille. Un remaniement qui pourrait créer des remous dans la majorité.

Éditions Pouvoirs , Énergie , Environnement , Santé , Transports , Agro
Virginie Riva, avec la rédaction de Contexte
12 janvier 2024 à 8h00
Premier Conseil des ministres du gouvernement Attal avec Emmanuel Macron, Bruno Le Maire, Catherine Vautrin, Sébastien Lecornu (Paris, France). — Eric TSCHAEN-POOL/SIPA

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Conforté au sein du gouvernement, dont il est le numéro deux, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a gagné de haute lutte une bataille menée depuis plusieurs années : rapatrier à Bercy le portefeuille stratégique de l’Énergie. Ce qui pose des questions sur l’organisation de l’administration, le maintien de l’ambition de la planification écologique, mais aussi sur les arbitrages et la préparation des textes à venir.

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