Dix ans de détricotage de l’État de droit et de provocations auront été nécessaires au Parti populaire européen (PPE) pour mettre le cas de Viktor Orbán ouvertement sur la table. Le 20 mars, le bureau politique de la plus importante formation politique de l’UE – 211 députés, 9 chefs d’État et de gouvernement, 13 commissaires –, doit statuer sur une éventuelle exclusion ou suspension de ses rangs du Premier ministre hongrois et de son parti.

La goutte d’eau qui a…