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Contexte fait le point sur les enjeux numériques de ce second mandat d’Emmanuel Macron. En France comme à Bruxelles, le centre de gravité va se déplacer en partie du côté des régulateurs, avec la mise en œuvre du DSA et du DMA, deux textes majeurs encadrant les activités des plateformes. La machine bruxelloise doit toutefois encore mener à terme plusieurs dossiers structurants pour l’écosystème.
À trois semaines du premier tour, les écuries présidentielles se sont montrées promptes à sortir le chéquier pour financer leurs propositions transports. Le président candidat, en bonne place pour rempiler, n’a pour sa part toujours pas présenté de feuille de route « mobilités » pour un prochain quinquennat.
Le 14 mars, devant les représentants de la filière, les prétendants à l’Élysée ou leurs porte-parole ont mis l’accent sur l’accompagnement des ménages et des entreprises dans la transition écologique. Une nécessité accentuée par la guerre en Ukraine. Leurs propositions traduisent-elles un changement de fond dans la manière d’aborder cette question ?
Environnement
Aucune proposition relative
Le programme de Jean-Luc
Groupes d’experts, commissions d’élus, associations de volontaires… Les instances chargées de faire remonter des propositions aux candidats sont légion. Dans l’ombre des programmes officiels, un travail de fourmi est aussi mené pour trier, expertiser et chiffrer les mesures. Pour démêler cette organisation, Contexte a interrogé les architectes des programmes transports des principaux candidats.
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