Aurélie Franc

Aurélie Franc

Journaliste Santé

J’ai rejoint l’édition Santé de l’équipe parisienne de Contexte en novembre 2022.

Un diplôme de l’Institut d’études politiques (IEP) de Bordeaux en poche et passionnée par les sujets santé, j’ai réalisé une formation en alternance entre l’Institut Pratique du Journalisme (IPJ) et le Figaro santé de 2016 à 2018.

J’ai ensuite travaillé pendant quatre ans au service “politiques de santé” de l’Agence de presse médicale (APM), où je me suis penchée sur les décisions publiques en matière de psychiatrie et de santé mentale, de fin de vie, de soins de ville ou encore d’études de santé.

Déclaration d’intérêts

Autres activités professionnelles ayant donné lieu à rémunération ou gratification depuis mon arrivée à Contexte

Néant

Lire l'ensemble de la déclaration
Détention d’actions ou de créances sur une société susceptible d’une couverture éditoriale

Néant

Participations actuelles aux instances dirigeantes d'un organisme public ou privé (association, sociétés) susceptibles d’une couverture éditoriale

Néant

Fonctions bénévoles actuelles dans une association émettant des positions sur des politiques publiques (plaidoyer), dons réguliers et adhésions en cours à un parti politique ou syndicat

Je suis trésorière de l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis), dont l'ambition est de favoriser le développement d’une information sociale de qualité. 

Fonctions et mandats électifs

Néant

Liens familiaux* ayant une activité professionnelle ou militante significative dans des organismes publics ou privés susceptibles d’une couverture éditoriale

Ma mère est vice-présidente du Centre d’étude et de recherche sur l’intensification du traitement du diabète (Ceridt).

* Ascendant, descendant, conjoint, partenaire lié par un pacte civil de solidarité, relation de couple stable et avérée.

Ses articles

À l’Assemblée nationale, un duo inédit à la tête de la commission des Affaires sociales

Pour la première fois depuis sa création, la fonction de rapporteur général de la commission des Affaires sociales sera occupée par un élu d’opposition : le député de droite Yannick Neuder. Son nouveau président, l’élu Horizons Paul Christophe, devra composer avec cette nouvelle donne tout en jonglant avec la forte représentation de la gauche et du Rassemblement national au sein de la commission.

Rapport « charges et produits » : l’Assurance maladie court toujours après les économies

Malgré un contexte politique instable, l’Assurance maladie a finalisé son traditionnel rapport « charges et produits » pour 2025. Ce dernier fait à la fois office de feuille de route et de document de travail pour l’administration et le Parlement en vue du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). Selon la version consultée par Contexte ce 11 juillet, il prévoit un peu plus d’un milliard d’euros d’économies, tandis que s’installe un déficit annuel de la branche maladie de plus de 10 milliards d’euros.

À l’Assemblée nationale, des convergences plus nombreuses qu’en apparence

Les élections législatives du 7 juillet ont débouché sur une Assemblée nationale plus que jamais divisée en blocs, ce qui rend improbable, sur le papier, la constitution d’une coalition gouvernementale. Depuis 2022, des coopérations entre adversaires politiques au Palais-Bourbon ont pourtant permis de porter des positions communes. Contexte revient sur ces moments, parfois couronnés de succès, le plus souvent freinés par l’exécutif.

Les députés de la XVIIe législature à suivre en santé

Les élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet n’ont pas fait émerger beaucoup de nouveaux députés connaisseurs du secteur de la santé. Si la commission des Affaires sociales accueille de nouveaux membres, peu semblent pour l’instant portés sur la santé. La majorité des personnalités qui s’y sont démarquées sous la précédente législature continueront en revanche à y siéger.

Les lobbyistes désorientés par un calendrier du PLFSS chamboulé

Si le mois de juin marque chaque année le coup d’envoi des stratégies d’influence autour du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, la dissolution de l’Assemblée nationale a amené les lobbyistes à s’interroger sur leur stratégie. En l’absence d’arbitrages politiques, certains se tournent vers l’administration, d’autres reviennent aux fondamentaux. Comme un air de 2022.

Les coulisses de la construction du « contrat de coalition » du Nouveau Front populaire

Pour boucler un accord en un temps record, les négociateurs Insoumis, socialistes, écologistes et communistes avaient trois atouts dans leurs manches : le choix de s’appuyer sur leurs priorités communes, le rapprochement de leurs programmes lors des européennes et deux ans de travail partagé à l’Assemblée nationale.

Quand l’opposition fait du Placss son terrain de jeu

Le projet de loi d’approbation des comptes de la Sécurité sociale (Placss) a été rejeté le 5 juin au matin par la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale. Si le texte a seulement pour objet d’approuver les comptes de l’année 2023, les députés en ont profité pour affirmer leurs positions, maintenant que le recours automatique au 49.3 sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale contraint les débats.

Anatomie du financement des établissements de santé

Les fédérations hospitalières se crispent actuellement autour de la question des « tarifs hospitaliers ». S’il s’agit, certes, de la part la plus importante du financement des établissements de santé, le mécanisme budgétaire qui leur permet de fonctionner est beaucoup plus complexe. Imaginez des enveloppes financières et des circuits administratifs qui se superposent, voire se croisent, au point de ne plus pouvoir évaluer précisément certains crédits. Contexte a disséqué les différentes dépenses de l’Assurance maladie à destination des établissements.

Et de sept ministres en sept ans : le secteur de la santé en quête d’un chef d’orchestre

À force de voir se succéder les ministres Avenue Duquesne depuis 2017, une certaine lassitude pointe chez les fédérations hospitalières, les syndicats de professionnels et les cabinets de conseil. Tel Sisyphe, ils déplorent de devoir recommencer sans cesse leur travail de lobbying sur des dossiers qui prennent du retard voire sont mis en pause. Alors que de grandes réformes sont attendues.

La franchise médicale et les prix parmi les pistes d’économies sur les dispositifs médicaux

Contexte a consulté la lettre de mission adressée à l’Inspection générale des finances et à l’Inspection générale des affaires sociales, chargées de formuler des propositions pour dégager des économies sur les dépenses de dispositifs médicaux. Elles devront notamment plancher sur une extension des franchises médicales et aller plus loin concernant la mise en œuvre du levier des prix.

LFSS 2024 : dans le labyrinthe des textes d’application

La nouvelle année s’ouvre sur un champ de décrets et arrêtés à rédiger et publier pour que les mesures de la loi de financement de la Sécurité sociale entrent en application. Contexte a répertorié et analysé les dispositions sanitaires phares du crû 2024. Sont précisés qui a porté la mesure, si elle est déjà applicable ou nécessite des textes d’application. Contexte suivra leur parution, jour après jour.

Réforme de la profession infirmière : le gouvernement peut craindre la poussée de fièvre

Promise par l’exécutif, l'évolution du métier infirmier n’est pas gagnée. Des représentants de la profession ont travaillé plusieurs mois avec la Direction générale de l’offre de soins pour proposer un futur cadre d’exercice. Mais les résultats de leurs travaux se heurtent à des désaccords internes au sein de la profession et les médecins se tiennent en embuscade.

La santé déboussolée à Paris, sous pression à Bruxelles

À Paris, la rentrée se fait dans l’attente d’un nouveau locataire avenue Duquesne. Le futur ministre de la Santé aura devant lui plusieurs négociations à superviser. À Bruxelles, c’est une tout autre ambiance : les colégislateurs sont engagés dans une course contre la montre pour adopter certaines de leurs positions avant les élections européennes début juin, notamment sur la révision de la législation pharmaceutique. En parallèle, de premiers travaux sur les pénuries préparent le prochain mandat.

Aurélien Rousseau fait un petit tour et puis s’en va

Arrivé fin juillet Avenue Duquesne, le désormais ex-ministre de la Santé a fait ses cartons le 20 décembre. Il laisse derrière lui de nombreux dossiers, dans lesquels il n’a pas eu le temps de s’investir.

PLFSS : avec le 49.3, les lobbyistes peinent à mettre un pied dans la porte

Les cabinets de conseil et lobbys en tout genre ont de plus en plus de mal à imprimer leur marque sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. En cause, les verrous posés par le gouvernement sur les initiatives parlementaires et les contraintes financières. Une nouvelle donne qui oblige ces acteurs à revoir leurs méthodes.

Rejeté pour la première fois en commission, le PLFSS donne le blues aux députés

Pour la première fois de l’histoire des projets de lois de financement de la Sécurité sociale, depuis leur création en 1996, le texte a été rejeté en première lecture par la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale. Ce coup de théâtre souligne à la fois les points de tension du texte et la démotivation des députés, dans la majorité comme dans l’opposition.

Activité libérale à l’hôpital, participation du privé à la permanence des soins… La Cour des comptes siffle la fin de la récré

Dans deux rapports publiés ce 12 octobre, la Cour des comptes exhorte les pouvoirs publics à faire participer le secteur privé à un « service public hospitalier » rénové. Et, par la voie des autorisations, à le contraindre dans certains territoires à participer à la permanence des soins.

PLFSS 2024 : deux documents pointent les hésitations du gouvernement jusque dans la dernière ligne droite

À la veille de la présentation de l’avant-projet de loi de financement de la Sécurité sociale en Conseil des ministres, Contexte publie deux versions de travail : l’une est issue du ministère de la Santé, l’autre du Conseil d’État. Ensemble, ces documents donnent un aperçu avancé du PLFSS, de ce qui a été acté comme de ce qui a crispé jusqu’au bout. Tour d’horizon des sujets qui concernent la e-santé, avant les derniers arbitrages.

PLFSS 2024 : deux documents pointent les hésitations du gouvernement jusque dans la dernière ligne droite

À la veille de la présentation de l’avant-projet de loi de financement de la Sécurité sociale en Conseil des ministres, Contexte publie deux versions de travail : l’une est issue du gouvernement, l’autre du Conseil d’État. Ensemble, ces documents donnent un aperçu avancé du PLFSS, de ce qui a été acté, comme de ce qui a crispé jusqu’au bout. Tour d’horizon avant les derniers arbitrages.

[Agenda] Un second semestre sous pression, à Paris comme à Bruxelles

L’automne sera chaud ! Outre l’incontournable projet de loi de financement de la Sécurité sociale, il sera notamment marqué par un Conseil national de la refondation décidé à s’implanter dans les territoires et du retour du fantôme de la régulation de l’installation des médecins. À Bruxelles, le Parlement prévoit un calendrier serré sur le paquet pharmaceutique, et les trilogues sont à l’approche pour le règlement Soho. La pression est d’autant plus forte du côté des institutions européennes qu’il s’agit du dernier semestre complet de travail pour boucler les textes en cours avant les élections de juin 2024.