Cette année, plus question de se retrancher dans les traditionnels bastions pronucléaires de Lyon, Helsinki ou Bucarest. Pour sa conférence annuelle, les 4 et 5 juin, NuclearEurope a choisi Bruxelles, au plus près des institutions européennes. Un signal de sa volonté de se faire entendre ?
Le secteur fait toujours face à un enjeu de réputation mais, partout en Europe, la réticence à la fission nucléaire s’affaiblit depuis plusieurs années. Et ce, alors que le lobby du nucléaire manque toujours…