« Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? – Je ne vois rien que le gouvernement qui tomboie, et le brouillard qui s’épaississoie… », pourrait écrire un Charles Perrault des temps modernes pour illustrer la rentrée politique. Difficile, à l’heure où ces lignes sont écrites, de distinguer les contours des mois à venir à Paris, où le calendrier voire le sort de bon nombre de textes ou décisions sont devenus incertains après la chute du gouvernement Bayrou.
Beaucoup…