Jean-Claude Juncker a donné une tournure diplomatique mais informelle à son audition devant le groupe de la Gauche unitaire européenne/Gauche verte nordique (GUE-NGL) au Parlement européen, à Bruxelles, le 9 juillet. Il a déclaré que l’extrême-droite résurgente était l’ennemi commun, et il a réitéré son souhait de ne pas engager le "débat avec des racistes" ni d’accepter que sa confirmation au PE dépende de leurs votes. Plusieurs membres GUE-NGL ont dit apprécier le candidat, même s’il est très improbable que…
Juncker déçoit le GUE-NGL par un manque de détails
09 juillet 2014 à 15h32