Le Premier ministre grec, Antonis Samaras, a assuré, le 4 décembre à Bruxelles, qu'il n'y avait pas de « lassitude à l'égard des réformes » dans le pays, même si l'on constate une « crispation ».
Le désaccord entre Athènes et la troïka des bailleurs de fonds internationaux (Commission européenne, BCE et FMI) sur les progrès en matière d'objectifs budgétaires et de réformes bloque le versement d'une tranche d'un milliard d'euros.
Accompagné de membres de son gouvernement, M. Samaras était…