En bref :
« Voulez-vous réellement relancer l’Europe ou préférez-vous son enlisement ? », a demandé le premier ministre François Fillon aux parlementaires réunis en Congrès pour se prononcer sur la révision constitutionnelle, préalable à la signature du traité de Lisbonne, lundi 4 février. La réponse a été sans appel. La révision a été approuvée par 560 voix sur les 741 suffrages exprimés. La majorité des trois-cinquièmes requise a donc largement été atteinte.
La ratification du traité de Lisbonne nécessitait…