La présentation du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) se solde traditionnellement par une gueule de bois pour l’industrie pharmaceutique. Chaque année, les laboratoires s’attendent ainsi à participer largement à l’effort d’économies, toujours plus poussé du fait du contexte budgétaire. Une situation qui les conduit à regretter fréquemment que le médicament constitue « la variable d’ajustement » du budget.
De son côté, la Direction de la Sécurité sociale (DSS) met en avant le dynamisme de ce…