Le 5 septembre, au tribunal judiciaire de Paris, les caméras campent devant la salle où se déroule l’audience qui oppose Shein au gouvernement. Leur objectif : obtenir un mot de Quentin Ruffat, le porte-parole en France de la plateforme, dont le gouvernement demande le blocage après la découverte de poupées pédopornographiques parmi les articles en vente. Pourtant, la véritable star de l’audience est l’article 6-3 de la loi pour la confiance dans l’espace numérique (LCEN). « Mon confrère l’a cité…
Kick, Shein… Les acrobaties judiciaires françaises pour enjamber le DSA