C’est un levier à manier « avec proportionnalité », certes, et moins efficace économiquement qu’une franche électrification des usages. Il n’empêche : le 9 décembre, le gestionnaire du réseau de transport d’électricité (RTE) a évoqué la possibilité de ralentir le développement des énergies renouvelables électriques, au premier rang desquels l’éolien terrestre et le petit photovoltaïque, en cas de surcapacité durable du système (lire ici et là ).
RTE a mis sur la table quatre rythmes ( p. 31 ) possibles…