Le texte a été négocié il y a 9 mois, mais il produit son effet le plus spectaculaire en bout de course, au moment où les dés sont jetés. Le 2 octobre, les parlementaires français devront se prononcer sur le traité européen de stabilité, de coordination et de gouvernance (TSCG), qui impose aux 25 pays signataires de limiter leur déficit structurel à 0,5% du PIB.
Un carcan que l’extrême gauche, ainsi que les écologistes, rejettent de toutes leurs forces. A…