Après le « quoi qu’il en coûte », à l’œuvre lors de la crise du coronavirus, place au « quoi qu’il arrive ». Face à la « crise de l’offre » qu’engendre la guerre en Ukraine, la « bonne réponse » consiste en un « soutien ciblé et massif aux secteurs qui en ont besoin, quoi qu’il arrive », a expliqué le ministre de l’Économie à la presse le 4 mars. En visite au Salon de l’agriculture, il sortait d’une…
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