Varenne de l’eau : après la politique, la mise en pratique… pas si pratique

Après huit mois de travail épuisant pour les participants, le très politique Varenne de l’eau s’est clos le 1ᵉʳ février par une série de promesses portées par le Premier ministre lui-même. L’une des idées fortes : renforcer le rôle du préfet de bassin pour favoriser la concertation autour de la gestion quantitative de l’eau et prendre en compte à leur « juste place » les usages agricoles. À ce stade, l’efficacité des mesures qui peuvent découler de ces annonces pose question.

Édition Agro
Valérie Noël
17 février 2022 à 7h00
Eau agitée — Pixabay

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Il y a ceux pour qui tout a déjà été écrit sur l’eau et l’agriculture, qui attendent des prises de positions politiques claires. Il y en a d’autres, parfois les mêmes, qui considèrent que c’est sur le terrain et pas à Paris que se gagnera la bataille des usages de l’eau. Et il y a ceux qui tentent le tout pour le tout, pour enfin, considèrent-ils, faire valoir une vision économique des usages de l’eau. Qui gagnera ? C’est tout l’enjeu du Varenne.

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