La France voulait retarder l'ouverture des négociations sur un accord de libre échange entre l'Union européenne et les Etats-Unis en raison des accusations d'espionnage formulées contre Washington. Elle n'a pas obtenu gain de cause et s'est ralliée mercredi 3 juillet à un compromis qui permettra aux pourparlers de débuter la semaine prochaine.
Un groupe de travail UE-USA sera créé en parallèle et chargé de faire toute la lumière sur les soupçons d'espionnage des institutions européennes par Washington.