Ne pas stigmatiser la Hongrie et replacer le débat dans le giron des Etats membres. C’est ce à quoi se sont efforcés les ministres des Affaires européennes, le 18 novembre à Bruxelles, en discutant de solutions susceptibles de prévenir les atteintes aux valeurs communautaires et à l'Etat de droit dans l’Union.
Sans être pointé du doigt, le cas du Premier ministre hongrois, Viktor Orban, était dans toutes les têtes. Déjà fortement controversé pour ses réformes constitutionnelles jugées antidémocratiques, celui-ci a…