Anne-Laure Mercier

Anne-Laure Mercier

Responsable du pôle Santé

Après avoir sévi pendant une quinzaine d'années dans la presse professionnelle en santé (industrie pharmaceutique puis pharmacie d'officine), traitant en particulier les sujets relatifs aux politiques publiques, je me suis consacrée à la transformation numérique du système de santé. D'abord chez mind Health, puis chez Contexte où j'ai participé au lancement de l'édition E-santé.

J'ai désormais la chance d'avoir la responsabilité du nouveau pôle Santé.

 

Déclaration d’intérêts

Autres activités professionnelles ayant donné lieu à rémunération ou gratification depuis mon arrivée à Contexte

Néant

Lire l'ensemble de la déclaration
Détention d’actions ou de créances sur une société susceptible d’une couverture éditoriale

Néant

Participations actuelles aux instances dirigeantes d'un organisme public ou privé (association, sociétés) susceptibles d’une couverture éditoriale

Je représente Contexte au conseil d'administration du Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM) depuis mai 2023, à titre bénévole.

Fonctions bénévoles actuelles dans une association émettant des positions sur des politiques publiques (plaidoyer), dons réguliers et adhésions en cours à un parti politique ou syndicat

Je suis adhérente du Syndicat national des journalistes et membre de l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis).

Fonctions et mandats électifs

Je suis élue au CSE de Contexte.

Liens familiaux* ayant une activité professionnelle ou militante significative dans des organismes publics ou privés susceptibles d’une couverture éditoriale

Néant

* Ascendant, descendant, conjoint, partenaire lié par un pacte civil de solidarité, relation de couple stable et avérée.

Ses articles

Laura Létourneau : « L’État plateforme en santé, c’est le beurre et l’argent du beurre »

La déléguée ministérielle au numérique en santé copilote depuis 2019 la transformation du système de santé français. L’occasion pour cette ingénieure des mines passée par l’Arcep d’appliquer sa vision d’un État plateforme, où l’État se pose en animateur de l’écosystème et gardien de l’intérêt général. Et de rattraper le retard de la France sur la scène européenne en matière de e-santé. Entretien.