Emilie Coste

Emilie Coste

Journaliste Environnement

J’ai rejoint la rédaction de Contexte et sa rubrique Environnement en avril 2022. Avant cela, j’ai suivi pendant plusieurs années la stratégie des grandes entreprises françaises pour La Lettre A, en tant que journaliste économique. Ancienne juriste, j’ai bifurqué vers le journalisme en 2017 en intégrant une formation de l’Ecole des métiers de l’information (Emi-cfd).

Déclaration d’intérêts

Autres activités professionnelles ayant donné lieu à rémunération ou gratification depuis mon arrivée à Contexte

Néant

Lire l'ensemble de la déclaration
Détention d’actions ou de créances sur une société susceptible d’une couverture éditoriale

Néant

Participations actuelles aux instances dirigeantes d'un organisme public ou privé (association, sociétés) susceptibles d’une couverture éditoriale

Néant

Fonctions bénévoles actuelles dans une association émettant des positions sur des politiques publiques (plaidoyer), dons réguliers et adhésions en cours à un parti politique ou syndicat

Néant

Fonctions et mandats électifs

Néant

Liens familiaux* ayant une activité professionnelle ou militante significative dans des organismes publics ou privés susceptibles d’une couverture éditoriale

Néant

* Ascendant, descendant, conjoint, partenaire lié par un pacte civil de solidarité, relation de couple stable et avérée.

Ses articles

Plan eau : les sept points à ne pas rater des annonces d’Emmanuel Macron

Recul de l’objectif de baisse des prélèvements d’eau, parallèles avec le plan de sobriété énergétique, imprécisions sur le nucléaire, ménagement du secteur agricole ou maintien de la ponction de l’État sur le budget des agences de l’eau… Contexte recense à chaud ce qu’il ne fallait pas rater du plan en 53 mesures présenté par le chef de l’État dans les Hautes-Alpes le 30 mars.

Plan eau : quand l’Élysée chamboule tout

À la dernière minute, la présidence de la République a repris la main sur la présentation, ce 30 mars dans les Hautes-Alpes, du très attendu plan eau. Alors que la France connaît une inquiétante période de sécheresse, l’initiative permet au chef de l’État de tenter de tourner la page de la réforme des retraites.

« Plan eau » : l’agriculture veut tirer parti du flottement gouvernemental

Coincé dans un « entre-deux eaux » politique, l’exécutif peine à accoucher de son très attendu plan de sobriété en la matière, maintes fois reporté. L’occasion pour le secteur agricole, premier consommateur du pays, de tenter d’échapper à des restrictions, au risque de raviver la rivalité « historique » entre environnement et agriculture. Mais le secteur sera bien concerné par des mesures de sobriété, confirment à Contexte plusieurs sources.

Affichage environnemental : Bruxelles laisse la plume aux États

Définir en un indice l’impact sur l’environnement d’un produit n’est pas un long fleuve tranquille. Après une décennie de travaux, l’exécutif européen vient de renoncer à faire de sa méthode de calcul une référence. Faute de mieux, la Commission laisse (presque entièrement) la main aux États membres. Ce qui, à Paris, pourrait libérer l’esprit créatif des pouvoirs publics.

Le plan « eau » au centre d’intenses négociations entre ministères

Mesure phare du plan sur l’eau gouvernemental, mise en avant par l’Élysée, la réutilisation des eaux usées est un parfait exemple des dissensions entre les membres de l’exécutif.

Consigne : l’exécutif forcé de remettre une pièce dans la machine

Les discussions reprennent ce 30 janvier avec les parties prenantes autour de la mise en place d’une consigne pour le recyclage des bouteilles en plastique. L’objectif : éviter les blocages qui ont conduit, en 2019, à ajourner la décision. Mais les oppositions des collectivités restent sensiblement les mêmes.

Planification écologique : les enjeux de l’exécutif pour sortir la tête (haute) de l’eau

Lancé en septembre, le chantier de la planification écologique sur l’eau s’apprête à livrer ses premiers résultats. Le gouvernement veut recalibrer la politique nationale en la matière, qui peine à s’adapter à un contexte de baisse de la ressource. Les attentes des acteurs sont fortes.

[Agenda] Écologie : planif’ à Paris, sprint à Bruxelles

Lors de ce premier semestre 2023, le gouvernement Borne va continuer d’esquisser un plan de transformation écologique, tandis que la Commission européenne entame la dernière ligne droite de son mandat, avant les élections de 2024, avec de très gros dossiers encore à traiter. Contexte Environnement fait le tour des chantiers politiques qui animeront Paris et Bruxelles.

Emballages : les objectifs de réemploi de la Commission affolent l’industrie européenne

Il ne s’agit que d’un brouillon, qui peut encore être largement amendé. Et pourtant. La sortie du projet de texte de la Commission européenne sur la révision de la directive emballages, un mois et demi avant sa présentation officielle, a eu l’effet d’un coup de pied dans la fourmilière bruxelloise. À Paris, les lobbyistes, déjà marqués par la loi Agec, relativisent.

La décentralisation des sites Natura 2000, ou le risque de déstabiliser une politique à succès

Au 1ᵉʳ janvier 2023, l’État devra transférer une partie de ses compétences en matière de gestion de ces espaces protégés. Un rapport des inspections des ministères de la Transition écologique et de l’Intérieur relève l’inquiétude, largement partagée, de voir cette politique de protection de la nature vieille de trente ans se détériorer avec cette réforme.

Budget 2023 : l’environnement au rang des priorités, oui mais…

Le gigantisme du bouclier tarifaire sur l’énergie occulte le coup de collier budgétaire que prétend donner le gouvernement en faveur de la transition écologique. Ce ministère, avec celui de la transition énergétique et des collectivités, bénéficie toutefois d’un budget record. Contexte résume les points clefs du texte.

Les défenseurs d’un verdissement de la politique forestière en voie de planter des graines dans le budget 2023

Après un été incendiaire, le sujet apparaît de plus en plus dans le discours des parlementaires. Dernière illustration en date : un séminaire organisé par l’association Canopée, où la nécessité de donner les moyens à la filière forestière d’assurer sa résilience face au changement climatique était sur toutes les lèvres. Le gouvernement a déjà prévu de bouger dans le projet de loi de finances.

Agenda - Transition écologique : Paris dans le flou, Bruxelles dans le vif

Les institutions européennes vont tourner à plein régime dans les trois mois à venir pour dérouler les volets déforestation, écoconception ou encore qualité de l’air du Green Deal. Le tempo est tout autre dans l’Hexagone, où l’on attend que le gouvernement lève le brouillard sur son organisation en matière d’écologie et décline les grands chantiers esquissés en cette rentrée.

Écologie : le difficile alignement des planètes à l’Assemblée

Poids réel de la commission du Développement durable, place de la transition écologique dans la haute administration, conciliation du pouvoir d’achat et de l’urgence écologique, alliances possibles avec l’opposition, niveau d’indiscipline de la majorité et rôle du Sénat… Autant de paramètres dont dépendra la progression de l’écologie durant la XVIᵉ législature. Exploration.

Jour 3 à l’Assemblée : LRM et LR optent pour des présidences de combat

En élisant Aurore Bergé comme présidente de groupe, les députés macronistes ont choisi une puncheuse à la personnalité clivante. En votant pour Olivier Marleix, le groupe LR a confirmé une ligne très ferme à l’égard d’Emmanuel Macron et de son camp. Retrouvez les dernières infos de cette rentrée parlementaire.

L’ambivalente trajectoire française sur les emballages en plastique à usage unique

Trois ans après l’adoption de la loi Agec, l’articulation entre deux objectifs, le « zéro emballage plastique à usage unique » d’ici à 2040 et le « tout recyclage » en 2025, fait toujours débat. La stratégie nationale adoptée en avril tente d’apporter des réponses, sans convaincre toutefois les milieux économiques.

Biodiversité : créer un parc national de zones humides ne sera pas un long fleuve tranquille

Dans un rapport publié au lendemain de la réélection d’Emmanuel Macron, le ministère de la Transition écologique prend des gants quant à la manière de choisir le territoire qui accueillera le projet de futur parc national, déjà avorté deux fois. Il préconise de lui allouer, une fois en fonctionnement, un budget annuel de 8 millions d’euros et 50 postes.